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Au tour de Chronos

26/6/2021

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Parler du temps. Pas celui qu'il fait, c'est à dire la météo, mais le temps temporel, la chronologie. Quelle est donc la logique de Chronos ? J'ai écris en 2018 un article au sujet du temps qui me semble toujours pertinent et toujours exprimer ma vision à ce jour, du moins en bonne partie. Vous pouvez le lire ICI. Un tantinet en relation à cet article, je vous en propose un autre, sur les formes pour la pensée, disponible en lecture ICI.

Dans ce présent article, je ne compte pas remuer ce que j'ai écris précédemment sur ce site. A vrai dire, cet article est avant tout stimulé par l'observation d'un phénomène culturel actuel. Le contexte de mon observation est cette manie de vouloir faire table rase de tout héritage, aussi bien culturel que génétique, mis à part la technologie qui a sa propre dynamique de remplacement. D'ailleurs, c'est bien la technologie qui nous conduit aujourd'hui à vouloir imiter ses processus dans l'humanité même, voire toute la biologie. Le métissage forcé, qui est le plus grand eugénisme (ingénierie sociale) jamais vu sur terre, par exemple. Le désir de supprimer toute forme de prédation, même partielle, dans la structure du vivant afin soi-disant de supprimer la souffrance dans l'univers. Bref, il y a à l'œuvre une logique de "déconstruction", sur vraiment beaucoup de domaines de notre existence actuelle. Et l'industrie du cinéma, films et séries, puis des médias aussi, pousse énormément l'adoption de nouvelles "normes". On se demande ce qui va être remis en cause demain. Sachant que des gens refusent sérieusement toute réalité biologique, du déterminisme sexuel par exemple. J'ai déjà pu lire donc que manger de la cuisine française est raciste, que la logique et les maths sont un suprémacisme blanc, et autres fadaises de cerveaux durement ramollis.

Donc, dans ce contexte, je crois apercevoir une insistance dans divers films et séries récents sur la déconstruction du temps. "Le temps n'est pas linéaire" semble être le leit motiv. Sous entendu, la conception actuelle du temps est... dépassée (vision technologique). Il y a une conception du temps qui était d'avant et il y a une nouvelle conception du temps. Il est vrai que par le phénomène de quantification, dont on peut lire une réflexion ICI, on abouti à confondre la chose et sa mesure (ou plutôt UNE mesure parmi d'autres possibles mesures), c'est-à-dire le temps et sa mesure. Derrière la notion de mesure, notamment du temps, il y a la notion d'absolu. On dresse un temps universel, qui ne serait pas dépendant d'une géographie ou d'un pays. Et cette mesure d'un temps universel devient un temps absolu, une mesure objective et indiscutable. Le problème de cela, est de faire du temps un dieu à la place de Dieu. Dieu est le seul absolu. En via négativa, on pourrait voir Dieu comme un procédé évitant, au moins en partie, les écueils de ces quantifications et logiques d'absolu qui n'en sont pas. Néanmoins, le temps, par exemple d'un pays, permet d'aligner les us des individus en son sein. La fonction de synchronisation sociale est évidente. Mais, évidemment, l'usage du temps mesuré dépasse allègrement cette fonction initiale bénéfique. A travers ces fictions audiovisuelles donc, on pourrait voir une tentative d'influence sur la destruction de la logique, de l'objectivité, et surtout de la synchronisation sociale. Chaque individu pensant être plus individuel tout en devenant toujours davantage une matière première homogène. 
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Quantification

17/6/2021

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"Regardez les chiffres !"

"Les chiffres parlent d'eux-mêmes !"
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Parmi les nombreux cultes de notre époque, on trouve un domaine particulièrement utilisé : celui des chiffres. Peut-on dire quelque chose sans chiffres ? Oui, mais sans atteindre cet aplomb magique du chiffre. Je considère aujourd'hui que nous vouons un culte à la quantification. En quoi consiste cette quantification ? Elle consiste à convertir ou traduire un phénomène en chiffres. Le chiffre est un dérivé du mot, des lettres. Les chiffres romains le disent de manière explicite, là où les chiffres indiens (qu'on dit à tort arabes) cachent cette origine ou plutôt cette nature. Ce sont des symboles, un système de symboles. Ils sont plus restreints que les lettres. Ils sont censés refléter le monde, l'existence. Dans l'histoire, ils sont très récents. Quelle spécificité d'un chiffre ? Il donne un aspect particulier de la chose observée. Il s'agit d'une qualité singulière : la quantité. Quelle magie opère ? Le chiffre fait référence à un système numérique restreint et donc plus facilement porté sur l'abstrait et donc plus facilement formalisable. C'est la formalisation, la capacité de raisonner dans l'abstrait qui donne des ailes à une part de l'esprit humain.

Les chiffres donnent donc une opportunité exceptionnelle pour la spéculation tout azimut. Assez tôt, quelques individus avaient saisit cela et l'utilisaient aussi pour la spéculation poétique, spirituelle, dont elle est d'ailleurs peut-être issue. Cela est assez perceptible dans la Bible, où chaque nombre donné est plus symbolique que purement "quantitatif". La spécialisation du chiffre au quantitatif seul, du moins dans les principes annoncés, est venue par l'idée de progrès humain, avec la notion de purement utilitaire, l'utilitarisme. Nous voyons qu'il est donc aisé que les humains aient été conquis par ces outils de spéculation extrême. Le chiffre provoque une telle fascination sur nos esprits qu'il est l'invocation suprême presque, tellement il isole pour comprendre une réalité, et est synthétique. Il n'est pas surprenant que nous ayons usé et abusé de ce système de valeurs, ni que nous l'associons à une objectivité. Car dans l'idée des sciences notamment, ce qui est le plus abstrait dans la forme est ce qui est le plus objectif. Dire "il y a des coquelicots" est a priori moins précis que de dire "il y a cinq coquelicots". Le chiffre fixe, ou donne à penser qu'il y a une vraie fixation/description du réel par lui. Plus que le verbal des lettres. On a complètement occulté la nature d'outil de ce système pour dire qu'il est le seul à même de décrire le monde et d'agir sur le monde. Car, oui, la quantification ne se réduit pas à une spéculation sans conséquences. Elle a des applications bien concrètes, comme toute chose d'ailleurs, plus ou moins directement. Même dans ces applications concrètes, il faut bien retraduire ces chiffres en du non-papier, non spéculatif, de la matière. En ce sens, nous voyons bien que nous divinisons un outil.

De nos jours, nous invoquons les chiffres pour absolument tout. A l'échelle de populations entières, nous aimons pouvoir les décrire avec des chiffres, c'est l'art de la statistique. Toujours avec cette prétention toujours implicite d'objectivité. Chiffre = objectif = précis = puissance = maitrise = rationnel. Autant d'associations d'idées qu'il convient de méditer. Avec cette capacité à l'abstraction, les chiffres nous donnent la possibilité de simulation sur de l'invisible, sur ce qui nous est a priori inaccessible sans. Cette capacité est une bénédiction sur ce fait, mais s'accompagne aussi d'un aspect extrêmement manipulable. On ne peut jamais aussi bien mentir qu'avec des chiffres. Mais on a peur de rejeter un chiffre, car le chiffre a cet effet puissant immédiat sur nous, et l'obtention du chiffre peut dissuader par la complexité formelle de tout un système de spéculation qu'on appelle mathématiques de le remettre en question.

La quantification, c'est par exemple la monnaie, qui est une création récente, surtout en cette application massive. C'est aussi le temps par la mesure du temps, les horloges partout. Tout est mesuré en permanence. On peut se poser la question de la pertinence de tout mesurer. Et aussi d'à quoi ils servent comme excuse à des idéologies et comportements inappropriés. On le voit bien dans le domaine du travail actuellement, toutes les pressions sont quasiment justifiées par le temps et la monnaie. En fait, que ce soit le temps ou la monnaie importe peu, ce qui importe ici est d'invoquer deux quantifications, posées comme objectives, rationnelles, légitimes, etc. Posez-vous la question, faire une balade peut juste être faire une balade. Mais vous pouvez aussi dire avoir marché 6,2km et brulé X calories sous un indice UV X et un rythmes cardiaque moyen X. Posez-vous la question de la pertinence réelle de ces quantifications. Cela parait aisément infantile et absurde pour une simple balade, mais c'est parfaitement le cas pour toute chose, y compris le très sérieux monde du travail, ou l'économie ou la sécurité sanitaire, etc.

La quantification peut s'avérer un outil précis, précieux, puissant. Mais cela ne veut pas dire que dès qu'il y a quantification cela est signe de précision, de puissance, d'objectivité, et autres, ni que le recours à la quantification est utile et pertinent. Il s'agit d'un outil et pas d'une réalité entière, il s'agit d'un outil partiel pouvant saisir partiellement une partie de la réalité. Le système numérique est puissant par sa concision formelle, et on peut utiliser un formalisme extrême sur cette base. Ce qui peut donner plus de portée sur la compréhension partielle du monde, mais aussi plus de portée à dire n'importe quoi de façon très complexe. Le formalisme des opérations numériques peut agir comme une arme de dissuasion, une arme d'agression massive (dilution des frais dans la masse), une arme de mensonge inégalée (statistique). Le mensonge est de l'occultisme, ni plus ni moins. La quantification est une part du verbal, et à ce titre elle est d'essence métaphorique.

La quantification a cela de bien que de proposer des unités communes afin de donner un espace commun où se retrouver. Elle peut être comme un pont, tout comme chaque mot peut être un lien... ou un mensonge. Un indicateur commun permet de comparer des choses qui en principe ne sont pas vraiment comparables. Dans l'absolu, une carotte n'est pas une escalope de veau. Mais par différents indicateurs uniformes et communs, standards, nous pouvons les comparer. Par exemple, par le prix, ou le poids, ou le volume, etc. Ce sont des quantifications précises, mais ne disant pas tout des carottes et des escalopes de veau. La quantification n'annule pas la différence des choses, elle permet de les comparer afin justement de les distinguer. De manière pratique, on peut plus facilement sortir du troc. On n'a pas à essayer de troquer des carottes contre des escalopes. On passe par la traduction numérique, en poids ou en prix qu'importe du moment qu'il y a un indexe commun, standard, pour l'échange. Bref, ce qu'il faut retenir, je pense est que la quantification est une traduction. Et on sait que la traduction a des côtés positifs et des côtés négatifs. La quantification n'a rien de spécifique là-dessus, il s'agit simplement d'une traduction. 
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Race

16/6/2021

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Le mot race. Le mot et le concept de race. Tout ceci dérive de la biologie qui s'est vue être étudiée pour elle-même et non la biologie comme preuve de Dieu, ou symboles de Dieu. La biologie a longtemps été une étude entièrement orientée vers, par et pour la pratique, le productif. Elle a en quelque sorte été unifiée par la dite théorie de l'évolution, qui constitue une méga narration de tous les éléments observés et accumulés jusqu'à lors. La médecine a aussi émergé de la biologie d'ailleurs. Biologie qui ne s'est appelée biologie que très récemment tout compte fait. La théorie de l'évolution a été formalisée à l'ère victorienne, ère qui a ses propres contradictions. Selon la biologie, donc, l'homme n'est qu'un animal parmi les autres. On a donc un changement de perspective, ce n'est plus une étude reliée au divin, mais la nature qui est le référentiel de la nature. Ce qui permet donc de dire ensuite que l'homme est simplement un animal. Le point à retenir ici est ce changement de perspective, car tout découle de ce changement. De même que la pseudo émancipation de "la science" de la perspective divine fait de "la science" le référentiel de base, ce qui ne parait justement pas "scientifique" du tout. En même temps que la théorie de l'évolution s'est développée la formalisation de l'eugénisme, c'est à dire par la statistique des populations recueillies par les états, les nations et la médecine, les docteurs, une tentative d'application de la domestication de la nature sur l'homme. La domestication de la nature a son paroxysme dans les plantes. Chez les animaux, cela est plus compliqué. Le meilleur exemple de la domestication quasi complète et radicale et le chien.

La notion de race est utilisée dans l'élevage encore de nos jours, bien qu'elle commence à poser problème y compris chez les propriétaires canins. La race ne désigne pas une espèce mais une variété spécifique d'une espèce. Un spitz ou un dog allemand sont tous deux des chiens. Ils appartiennent bien à la même espèce, mais ont des caractéristiques très différentes. Il y a peut-être des races de chien qui ne peuvent pas se reproduire entre elles, et alors il y a ce qu'on appelle une spéciation. La notion de race n'est pas vraiment adaptée à la plupart des usages qu'on en fait. A vrai dire, elle n'a pas vraiment de réalité scientifique actuellement. Elle désigne un maintient d'une lignée afin de conserver des caractéristiques qui nous intéressent. A la base, cette conservation n'est pas "idéologique", mais essentiellement pratique. Exemple des vaches de race à lait versus races à viandes, versus mixtes, versus celles de montagne, celle du froid, celle du chaud, etc. Ce sont des "adaptations" spécifiques (à des environnements et à des usages), et principalement utilitaires. Mais par le basculement de la science pour la science, la biologie pour la biologie, on retourne dans le spectre de l'idéologie (spiritualité) multiple. Et donc chaque chose peut prendre des portées spirituelles qu'on désignera par tous les mots sauf "spirituel" (aveuglement paradigmatique typique du polythéisme). On se retrouve donc avec l'idée que l'on peut domestiquer l'homme comme on a domestiqué le chien ou la vache. Le contexte de l'époque étant la création des nations, ce sera pour améliorer la population de chaque nation. La notion de race appliquée à l'humain est dans cette perspective de conservation de certains traits puis de développements ajoutés de certains traits sur cette base. Il y a la notion de pureté totalement attachée à la notion de race. Pureté de nature, mais aussi pureté à obtenir par le progrès, car le progrès est un autre paradigme émergeant à la suite de l'émancipation de la perspective divine.

Aujourd'hui, le concept de race est revenu en force sur la table. En principe pour dénoncer un racisme mais en faisant cela mettant simplement sur la table à nouveau le concept de race, et créant donc un autre racisme, voire d'autres racismes. Le concept de race n'est pas toujours adapté, mais remplacer le mot par ethnie ou autre notion vague n'aide pas plus. L'inverse du racisme n'est pas le métissage, au contraire. Ce qui est un véritable leurre entretenu par les médias et les institutions actuellement. Le métissage forcé est toujours un racisme, peut-être même le racisme ultime. Ce qui est problématique aussi quand on évoque le concept de race est la propension à nier les différences entre populations du monde. Le schéma est le suivant : la race n'existe pas, donc il n'y a pas de différence et parler de différence est raciste. Ce qui est totalement illogique et non-scientifique, et stupide. Il y a des différences entre les humains, et non une égalité absolue, à part devant Dieu peut-être. Les différences les plus répandues ne sont pas toujours traduites dans la nature humaine par la variation de couleur de peau, bien que cette caractéristique très visible ne soit pas sans autres caractéristiques directement en dépendance, en relation avec ce phénotype. Il y a des différences autres que la couleur de peau, et qui peuvent passer en dehors du concept de "race", ou de variation d'espèce, à tort. D'ailleurs, on pourrait créer une race sur l'idée de groupe sanguin ou de digestion du lait, ou d'autres critères périphériques (mais jamais sans conséquences par ailleurs, ou, plutôt que conséquences, des co-caractéristiques). 
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évolution actuelle du langage

8/6/2021

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En cliquant ici et là sur ce site, vous pouvez trouver plusieurs articles a propos du langage. J'ai notamment écrit un livre avec un collègue sur le sujet, si la curiosité vous pique. Ici, je vais simplement poser une ouverture supplémentaire à ce sujet.

Le constat est que le langage verbal est diminué à toute allure ces derniers temps. Il avait une place central auparavant, on le perfectionnait, on cherchait à tout convertir en verbal, à en faire un prisme universel. Or, avec différentes idéologies et technologies, nous voyons le verbal être décentré, devenir périphérique. Certes, nous n'avons jamais autant écrit que de nos jours, mais les mots n'ont plus de sens, ils sont devenus des mots-clefs, des mots invocation, des images marketing jusque dans notre façon de penser et de percevoir. Certains se rendent compte d'une évolution du langage, mais peu voire personne, de ce que j'ai pu lire et écouter, ne comprennent comment et pourquoi. Notre langage devient multimédia, ou transmédia, où le verbal est une composante et non plus une totalité en elle-même. Cette nouvelle organisation langagière implique une diminution du verbal en quantité et en qualité, réduction drastique du vocabulaire, réduction du sens spécifique de chaque mot, entre autres phénomènes. Le multimédia ou transmédia est un langage brisé qui tente de créer une unité. Une image vaut plus que mille mots, disons-nous parfois. Oui, une image peut plus "parler" parfois qu'une explication verbale. Là n'est pas la question. La question est l'unité langagière. Le verbal avait approché une unité langagière, car nous pouvons tous embarquer avec nous ce langage avec nos corps seuls, là où la technologie nous oblige à avoir des objets et outils afin de communiquer, penser et même s'émouvoir. Le langage verbal s'est forgé sur de longues périodes, et nous avons ainsi gagné en précision et donc en potentiel ordre, progrès peut-être, clarté. Nous avons dorénavant une mosaïque de langage par le transmédia. Nous brisons l'unicité du verbal chaque jour, et ce sans s'en rendre compte directement, sans faire le lien entre nos agissements à cet égard et les aboutissements par ailleurs. Il en résulte que nous ne savons plus vraiment parler, communiquer, ni IRL c'est à dire de visu in situ et nu (sans support extérieur), ni avec nos nouveaux outils, notre nouveau langage transmédia car il est tout nouveau, très composite, instable, etc.

Avec ce constat, il n'est guère étonnant que l'on perde encore la notion de Dieu, que l'on retrouve des rituels de sorcellerie, que ce soit une guerre "idéologique" de tous les instants presque. Ce que l'on dit "idéologique" devrait être dit guerre spirituelle d'ailleurs. "Idéologique" servant à occulter la nature occultiste de cette dynamique chaotique. Peut-être que ce nouveau langage transmédia va aboutir à des choses intéressantes dans l'avenir, mais c'est très spéculatif, incertains, et probablement ne fait que déplacer les problèmes inhérents à chaque langage qu'on attribue pourtant massivement au langage verbal seul. Peut-être que ce nouveau langage transmédia va être précis à l'avenir mais en attendant nous n'avons plus aucun moyen d'être précis, car le verbal est attaqué, diminué, et le nouveau est bêta, autrement dit nous ne sommes nulle part aujourd'hui, dans un entre deux du chaos. Peut-être que ce transmédia sera bien à l'avenir mais il nous force à fusionner avec les technologies transmédia et être mutiques, maladroits et fous sans technologies.

Comme souvent, on oublie ou n'est pas conscient que beaucoup de nos "idéologies" et de nos comportements en découlant sont directement dépendantes du présupposé de base qu'est la croyance en la technologie, cad que la technologie pourvoit à tout ou presque, si ce n'est maintenant, ce sera bientôt ou plus tard. Sondez votre pensée et l'esprit du moment et vous le constaterez aisément, avec un minimum de logique. Féminisme, écologisme, lgbtqisme, et tant d'autres préoccupations de cet acabit sont des épiphénomènes de cette croyance, de cette foi en la technologie. Merci. A bientôt.
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