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Victime

25/7/2021

 
Un des mottos actuels est de se faire victime. Le statut de victime suscite une empathie naturelle, un désir de protection de l'opprimé. Néanmoins, il s'agit souvent d'une imposture. On peut toujours s'inventer victime de ci et de ça, à chercher un peu. On prend une caractéristique et hop on fait tout tourner autour de cette unique caractéristique/aspect. Ce procédé essentialise une personne. Ainsi, pour un exemple, il ne s'agit plus de Géraldine une personne aux multiples aspects, mais d'une personne homosexuelle. Géraldine est avant tout désignée par un de ses aspects. En fait, plus que cela, on dit que Géraldine est avant tout définie par cet aspect, tout le reste étant secondaire. On retrouve l'invocation d'une identité partielle, extrêmement partielle. On fait d'un caractéristique périphérique un centre absolu. Ainsi, des femmes invoquent le fait d'être de sexe féminin ou masculin pour obtenir des choses. Des gens qui s'identifient à une dite "minorité", avec toujours le sous-entendu qu'il y a une injustice et que donc il faut aller dans son sens sinon on participe et même encourage l'injustice qui le concerne, le touche. Création d'un cul de sac où si l'on ne joue pas le jeu de la pseudo-victime, on est responsable de tout ce qui lui arrive de mal. A vrai dire, la victimisation est une technique de manipulation. C'est à dire qu'il s'agit d'un moyen d'oppression, d'attaque qui se cache derrière, utilise le prétexte ou décor où les rôles sont inversés. Je suis victime, donc j'ai le droit de ci et de ça, tu me dois ci et ça, tu dois non seulement me défendre mais aussi t'excuser. On décline cette technique de manipulation sur la race/ethnie, le sexe, l'orientation sexuelle, une appartenance religieuse, etc. Cette technique de manipulation n'est pas toujours consciente en plus. Elle semble être devenue une forme majeur de "communication".

Cela dérive notamment de l'insistance de la dite science sociale qu'est la sociologie qui insiste à voir des groupes partout sur des critères partiels. Selon la sociologie, nous sommes des groupes sociaux (à partir d'un critère en commun, même sans se connaitre).

Maintenant, il y a vraiment des victimes. Et ces victimes réelles peuvent aussi utiliser leur statut de victime pour dire tout et n'importe quoi par ailleurs, comme si ça leur donnait une autorité supérieure sur tous les domaines ou presque. Par exemple, dernièrement, quelques individus se sont baladés avec une référence à l'étoile jaune des juifs de la seconde guerre mondiale en Allemagne nazi. Evidemment, d'un fait d'une poignée on en a pondu une essentialisation de tous ceux qui expriment une inquiétude de ce qui se passe actuellement pour les délégitimer. Suite à cela, donc, un survivant de ces horreurs historiques utilisait son statut de victime (réelle pour le coup) pour dénoncer tous ceux qui ne voulaient pas se plier au délire du gouvernement. Si on peut respecter son statut de victime et être désolé de ce qui lui est arrivé, cela ne lui donne aucune légitimité pour parler de ce qu'il faudrait faire, sur la promotion de l'injection notamment pour rester dans l'actualité. Il y a donc être victime et utiliser le statut de victime, et les deux ne sont pas toujours corrélés.

Avoir vraiment été victime ne donne pas forcément une connaissance particulière de l'oppression. A vrai dire, la victime peut faire des victimes par ailleurs, c'est un classique, car nous voulons transmettre et parfois nous ne savons que transmettre le mal, car c'est tout ce que nous avons connu et/ou la seule chose à laquelle nous pouvons nous référer. La victime n'est pas victime que d'un fait mais de la perdurance de ce fait, l'état de choc, de sidération, le traumatisme. Ainsi, la victime peut se retrouver à reproduire en elle-même un fait, le trauma tourne en rond et se manifeste par différents troubles extérieurs, ou reproduire ce qu'elle a connu vers quelqu'un d'autre. Autrement dit, dans les deux cas, la victime n'est pas immunisée. La victime peut renseigner sur son "expérience" d'un fait et alors on peut dégager des points communs avec d'autres situations sur des dynamiques d'oppression. Mais la victime n'est pas une référence suprême pour juger de l'oppression, seulement pour voir comment cela est d'être opprimé personnellement. Qu'une personne soit réellement victime ou non, elle peut avoir un défaut majeur dans toute son intervention, celui de faire de son état de victime une identité (sous entendu, une identité centrale et forcément vertueuse ! ). D'accord, reconnaitre qu'on a été victime est souvent une étape importante de guérison. Mais cela n'aide pas d'en faire une identité absolue, ni soi-même ni les autres (qu'on voudrait protéger de l'oppression).
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tour de passe passe

14/7/2021

 
Passe-partout de Fort Boyard, seul lui détient les clés.

Cet article va constituer une réflexion-observation sur ce qui se déroule présentement. Je ne voulais pas épiloguer sur ce sujet, mais j'en suis presque contraint au vu de l'hystérie tant des mesures que de leurs bien prompts défenseurs forcenés. Cela va être difficile de trouver par où commencer tant cela soulève de profonds problèmes.

On va parler de terminologie d'abord. Parce que les mots ne sont pas anodins, traduisent des choix, des paradigmes même, en amont des jugements permettant de classer pour nommer.
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Les termes

VACCIN. Le terme vaccin désigne à la base l'exposition ciblée délibérée à un pathogène afin de compter sur le corps qui produit une "défense" contre un effet pathogène d'un organisme. Question de contexte, il n'y a pas de pathogène par nature, il y a un effet pathogène entre deux organismes, ou si vous préférez d'un organisme sur un autre (mais c'est un cas particulier de la première proposition). Ce qui est important de retenir pour le moment, sur la terminologie, est que le vaccin a cela comme définition. Avec le développement technologique, on a ajusté la définition. De fait, on désigne par le mot vaccin des technologies qu'on ne devrait pas désigner ainsi. Parmi les labels de sanité entre lesquels nous sommes contraints de choisir, l'Astre Z est a priori le seul qui se rapproche le plus du vaccin original. Le reste concerne d'autres technologies qui s'éloignent fortement de ce procédé initial. Pourtant, dans les médias et au gouvernement on parle DU vaccin, comme si il n'y avait pas différentes technologies et différents labels. Cela pose beaucoup de problèmes. On dira que c'est pour faire comprendre aux gens, parce que sinon ils seraient perdus. Oui d'accord, on peut aussi dire que prendre de la vitamine D en supplément est un vaccin ou que prendre l'air est un vaccin à ce moment là. Pourquoi utiliser ce terme vaccin au delà de sa définition initiale ? Parce que le terme vaccin renvoie au plus grand succès (voire le seul succès significatif) de ce qu'on appelle la médecine (surtout sur la mortalité infantile). Légitimité toute naturelle et subite pourtant pour une technologie toute autre. C'est comme ceux qui arrivant au pouvoir se réclament d'un héritage devenu prestigieux, ce qui est un classique historique de la manipulation du pouvoir.

SCIENCE. On invoque à tout va la science. C'est la caution universelle à tout et n'importe quoi. La science n'est pas une identité, il s'agit d'une méthode. Il ne s'agit pas de cumul de connaissances, mais d'une méthode normalement standardisée d'exploration du monde. Il s'agit d'une spéculation sur le monde. Cette spéculation, comme toute forme de spéculation d'ailleurs, y compris ce qu'on appelle l'imagination, dont on a besoin dans la science normalement, peut avoir des applications par ailleurs. On ne peut pas dire qu'une chose est scientifique, ni un objet, ni une décision politique, ni rien. On peut seulement avoir une méthode scientifique, ou une méthode non-scientifique (ou plutôt non-scientifique selon les critères de scientificité d'une époque). Ce n'est pas chipoter, c'est simplement appeler un chat un chat, et être précis. Or, aujourd'hui, on invoque la science à tout va. Confondant aussi la science avec la médecine au passage. Dire "c'est scientifique" ne veut absolument rien dire. La méthode scientifique appliquée à un domaine précis peut aboutir à des observations qui peuvent servir, comme outil, et non comme caution ou garantie, à créer des applications concrètes et des décisions. Une décision prise notamment sur la base d'une observation issue d'une méthodologie scientifique ne peut pas être qualifiée de scientifique. Un objet non plus.

MEDECINE. La médecine n'est pas la science non plus. La médecine peut s'appuyer sur "la science", mais n'est pas scientifique. La médecine n'explore pas le monde, elle a pour principe de guérir les maux. La prévention n'est pas la majeure partie de la médecine, au contraire, elle y est marginale. La médecin cherche avant tout à soulager les souffrances qu'elle confond parfois avec la guérison. Elle est très sectorisée et spécialisée, et peine souvent à voir au delà de cette sectorisation. Exemple de la danse entre un problème physique ou psychique (à l'exclusion de toute autre explication/source possible).

Biais

Pour continuer cet article à propos du tour de passe passe, comme certains sont sensibles à l'usage du mot biais, et à l'analyse de tout comportement en terme de biais, je vais dresser quelques biais qu'on peut facilement identifier. Il y aura peut-être un biais disqualifiant tous les biais que je vais énumérer. Je compte sur le zèle des adorateurs "zétés pro-science".

Le biais de confirmation est probablement le plus grand et ramifié ici. Si une personne s'est faite injectée - on lui a fait comprendre qu'elle est une personne responsable et un bon citoyen - elle va voir chaque personne lsuivant ces directives comme une confirmation de ce qu'elle pense être un choix individuel. Elle va voir la majorité le faire et ainsi se trouver renforcée dans son "choix". A vrai dire, si elle commençait à dire que ce n'est pas bien pour tous, ou pas forcément nécessaire, elle se contrarierait dans un de ses "choix" irréversibles. Ce qui vaudrait avoir perdu la face. Personne ne veut perdre la face et donc on va dans le sens qu'on a emprunté, car on n'a pas le choix pour son égo, et qu'on va même faire de la surenchère sur pourquoi ce "choix" doit être appliquée à tout le monde immédiatement (afin de noyer dans la masse son embarras à seulement imaginer qu'il aurait pu en être autrement). Alors imaginez que si une autorité nationale impose quelque chose qui confirme leur "choix", ils vont avoir le suprême adoubement par l'autorité politique. On confond en plus science et politique et donc double adoubement. Jubilation. Toute pression sur ceux qui peuvent encore faire un choix est alors perçu comme un devoir ultime, et totalement légitimée. Infantilisation, mépris de classe, mépris de culture, culpabilisation, menaces, privations, tout cela est autorisé subitement.

Il y a l'appel à la science, comme autorité suprême. Se référer, plus avant dans cet article, à la terminologie. Prendre la science comme autorité est par définition ne plus parler de science du tout. La science n'est en aucun cas une autorité. Si on dit que la science est une autorité, on parle en réalité de politique, purement et simplement. La science n'est pas neutre, objective, même si elle tente de l'être au maximum et donc il y a de la politique dans la méthode même. Mais prétendre que "la science dit ceci", "la science impose cela" est foncièrement faux. La majorité des techniciens en science n'ont jamais réfléchi sur ces questions. Ce sont des techniciens, qu'ils soient chercheurs ou autre ne change rien.

Quantité de techniciens de la médecine se voient subitement sous les feux de la rampe car on parle de leur domaine. Ils sont flattés car d'habitude ils sont ignorés. Ils se sentent alors une autorité subitement supérieure. Les techniciens sont habitués à aller dans le sens d'un courant, que ce soit derrière une institution en particulier ou une personne en particulier. Ils ne peuvent pas résister au fait d'être soudainement valorisés. Aussi bien la médecine que la science sont tributaires de financements, comme toute chose par ailleurs dans notre culture humaine globale. Bref, il y a plein de problèmes très profonds dans "la science" actuelle, et c'est connu, reconnu depuis longtemps, pas juste maintenant. Mais ce dont je veux parler est avant tout des biais concernant les immunologistes et différents autres médecins. Par exemple, ceux qui s'occupaient directement des cas graves ont le choc de voir la gravité, et naturellement sous choc ils préfèrent éviter que ça arrive à d'autres. Il y a surestimation du risque pour tous par intérêt personnel et par choc d'avoir vu le pire. Après avoir lu un ensemble de témoignages liés à l'accident de Tchernobyl, j'ai été quelque temps anti-nucléaire, parce que ça me soulevait le cœur, impossible de voir en un réacteur nucléaire autre chose que le pire. C'est humain. Mais pas "rationnel", pour ce que ça veut dire. 

Des techniciens ne sont pas équipés intellectuellement et mentalement à remettre en question. Et à vrai dire, ils sont, comme tout le monde, dépendants. Le risque d'être en désaccord avec le "consensus" est bien trop grand pour son confort financier et social, voire familiale. Avant cette déclaration honteuse de la tête du gouvernement de ce pays, j'entendais surtout les gens s'injecter pour être tranquilles, c'est à dire être tranquille administrativement pour voyager notamment, et socialement car des proches faisaient pression sur eux. Mais pas du tout ou pas en priorité pour l'aspect santé, à part ceux qui sont âgés évidemment.
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Le politique, quant à lui, doit toujours démontrer son utilité et sa volonté d'agir. Ce qui le condamne à faire n'importe quoi très souvent, mais un n'importe quoi qui satisfait les gens, ou au moins une majorité. Il vaut mieux qu'il fasse quelque chose que rien. C'est pourquoi on a une multiplication infernale des lois, une multiplication des mesures autoritaires, sécuritaires, et autres car c'est tout ce à quoi est condamné le politique. Il doit faire voir la puissance. Ici on a la puissance de "la science", la puissance du consensus, la puissance des restrictions de liberté, etc.
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Code barre

Le pass sanitaire est une nouvelle carte d'identité mondiale. Impossible d'aller à Malte par exemple sans ce fameux QR code. Chacun a un QR code, labellisé comme un produit de supermarché pour une identité basée sur l'allégeance à un laboratoire. L'avantage est que nous avons le choix de porter allégeance à différents laboratoires, ou plutôt industries pharmaceutiques. Ce QR code marque un basculement sur une échelle mondiale et non plus uniquement pays par pays. La carte d'identité est une chose récente dans l'histoire, et elle donne des droits, tout en étant obligatoire. Il s'agit d'un fichage sur certains traits de son identité. Ici, le pass sanitaire doit toujours être accompagné d'une pièce d'identité. Il s'agit d'une extension. Avec une identité pharmaceutique ! C'est un coup de génie. Mais ça va au delà de cette application actuelle, car ce fait traduit un changement de paradigme. La santé est privatisée avec l'aval de gouvernements, et constitue une facette majeure de la nouvelle identité du nouveau citoyen du monde. L'identité par le corps modifié. L'individu se définit désormais par son statut dit sanitaire (seulement sur l'injection pour l'instant et pas sur d'autres traits physiologiques, voire génétiques). C'est censé être un outil temporaire, mais ce sera permanent, et ça ne va pas concerner que la double injection actuelle. Les restrictions vont donc bouger autour d'autres critères. Ceux qui arguent de gagner en tranquillité sont aveugles, et ça peut se comprendre, en état de choc et de manipulation.

Chiffres

Il y a un argument qui revient souvent justifiant ce qui est en aucune circonstance justifiable. Les non-injectés seraient un réservoir de nouveaux variants. Alors là, subitement on oublie qu'il s'agit d'un phénomène mondial et que le virus ne connait pas de frontière. Les politiques en reportant la frustration des mesures précédentes des injectés sur les non-injectés font diversion, et sous-traitent civilement les conflits éventuels contre les autorités politiques. Rappelons que disons si 75% de la population de la France est injectée, sur ces 25% non-injectés, il y a une part qui va se réduire et se faire injecter sans les mesures nazillardes présentes. Effet d'inertie. La population française représente même pas 1% de la population mondiale. Croyez-vous vraiment que disons 20% de même pas 1% de la population mondiale serait responsable de l'apparition de nouveaux variants alors que des milliards de personnes ne sont pas injectées et ne le seront pas avant des années ? Si oui, vous avez des problèmes de réflexion élémentaire, ou alors vous êtes victime de certains biais. 
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Microbiologie

Pensons en terme dynamique, ou écologique. Comme je le soulignais plus avant, il n'y a pas de pathogène par nature, seulement dans l'interaction entre deux organismes. On identifie/associe la source d'une pathologie à l'organisme étranger, mais peut être que c'est aussi l'organisme propre qui rejette ou ne sait pas "gérer" cet étranger. Nous sommes constitués de plein de corps "étrangers" sur et dans notre corps même. Dont plein de bactéries et de virus et de champignons et d'acariens, etc. En temps qu'on dira normal, il n'y a pas de problème avec tout cela mais parfois cela peut poser problème. Il s'agit donc peut-être d'un fait écologique plutôt que d'un fait à sens unique. Présentement, nous nous stérilisons les mains et autres plusieurs fois par jours. Cela aura des conséquences long terme sur notre santé. De même, le masque filtre l'air, et diminue et le volume d'air mais aussi sa qualité, ce qui fragilise durablement la microbiologie interne, respiratoire. On est capable de dire que la diversité du microbiote est importante et doit être préservée voire encouragée, tout en faisant exactement l'inverse sur le microbiote respiratoire et dermique. On a vu ce que les antibiotiques peuvent faire comme dégâts très long terme (plus ou moins acceptables en cas extrême) et qu'il y a par sur-utilisation d'une technologie sur-armemement bactérien, antibioresistance. Et on oublie totalement ce phénomène quand il s'agit de l'utilisation d'un nouveau joujou technologique contre un virus qui a priori, malgré les accusations au début de complotisme est bel et bien fait par l'homme. On est donc avec des outils tout nouveau qu'on impose massivement voire totalement. Il faut être sacrément aveugle pour penser que ce qui se produit par les bactéries et les antibiotiques ne peut pas se produire avec les thérapies par ARNm et les virus.

Perspectives

​Histoire et Analogie.
Si on se renseigne un peu sur l'histoire de ce qu'on appelle la biologie aujourd'hui, dont la médecine est une branche encore plus récente, on constate une suite d'avancées très spécifiques certes mais aussi une suite de déconvenues cuisantes. Le recours à des analogies foireuses est fréquent. Et quasiment toujours, il s'agit d'analogie mécanique, c'est à dire on compare la technologie avec la biologie. Le dernier exemple en date est le tout informatique. L'ADN est le code de tout ! Il suffit de décoder et tout est possible ! Beh, non. Il y a peut-être une partie du phénomène qui peut correspondre partiellement à une analogie informatique, mais l'ADN ou le cerveau humain ne sont pas des ordinateurs. Dans ces distinctions, je disais sur une plateforme dit de réseau social qu'il ne s'agissait pas de vaccin mais de thérapie génique. Ce sur quoi des personnes qui paradaient de leur diplôme et de leur poste de chercheur se moquaient. Ils n'ont pas su aller plus loin dans la réflexion finalement. Illustrant le côté superficiel de techniciens même à un poste qu'on dit supérieur, même dans le domaine qui concerne directement le sujet. La distinction serait que la thérapie (épi)génique selon eux utilise du matériel génétique et pas de l'information génétique. A considérer que le matériel soit parfaitement distinct de l'information. On est toujours dans l'analogie informaticienne et la dualité corps esprit finalement.

"Nous sommes en guerre".
Pour rester dans l'analyse du discours, des termes choisis, le fameux président de la honte qui nous décrète une dictature sanitaire (qui est en fait une sorte de guerre civile via médias par les postures pour et contre), a répété lors d'un fameux discours à plus de trois reprises, de mémoire, "nous sommes en guerre". Une guerre contre un organisme. Quelle naïveté sidérale. C'est très théâtral, oui. Mais le problème est qu'être en guerre contre la nature est bien prétentieux. Idolâtrie de la technologie pure et dure. Qui s'arme doit s'attendre à ce que l'autre s'arme en conséquence, en retour. Dès lors le sujet n'est plus l'homme et le virus mais la guerre, et la course à l'armement. On se décentre. On perd pied, la lucidité pour stimuler un esprit de guerre qui n'est plus des hommes contre d'autres hommes mais de quelques hommes qui entrainent tout le monde dans leur guerre contre la nature. Le pire avec cette mesure de demeuré est qu'il s'agit de la guerre contre la nature sur laquelle il rajoute un faux conflit entre des gens qui s'injectent et d'autres qui ne veulent pas. C'est sournois et malhonnête. Méthode vue un nombre incalculable de fois, de créer une minorité de toute pièce et de les rendre responsables de tout afin de détourner l'attention des réalités de fond. 

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Enfin, pour toutes les histoires obsessionnelles de chiffres et de statistiques, je vous invite à un minimum de scepticisme en lisant cet article sur la quantification qui pourra vous éclairer peut-être. Merci de votre lecture.

Mise en culture du système immunitaire

Les mesures d'isolation sociale, de stérilisation partielle de la peau (gel hydroalcoolique) et des voies respiratoires (masque) peuvent agir parfois comme barrières, en effet, mais aussi comme couveuse et affaiblissement durable du système immunitaire. C'est à double tranchant. Et difficile de savoir quand cela joue en notre faveur. En tout cas, ces méthodes peuvent entrainer une moindre oxygénation, moindre variété microbienne de la peau et des voies respiratoires. A votre avis, affaiblir le système immunitaire naturel est-il une bonne option en cas de pandémie ? 

On le voit déjà, deux injections ne semble pas suffisant, ils envisagent trois doses. Ce sera peut-être plus. Les commandes de gouvernements vont jusqu'à 2024-2025. A vrai dire, il s'agit de la même dynamique que la mise en place d'un marché captif (comme les produits informatiques de la marque à la pomme ne sont pas compatibles avec d'autres systèmes par exemple). C'est d'autant plus grave qu'il s'agit de mise en culture du système immunitaire de milliards d'individus. Mise en culture, c'est à dire que l'on est face au même problème majeur du passage au tout agriculture de l'humanité. Effet de non-retour. Et prophétie auto-réalisatrice. On s'apprête à cultiver le système immunitaire de l'humanité. Une attaque contre la nature (le virus : qui s'avère d'origine humaine) et contre la nature humaine même. The house always win. C'est à dire qu'on va sur la pente où l'humanité va être dépendante de technologies épigéniques pour résister à TOUTES les infections, y compris des organismes qui étaient jusqu'à lors inoffensifs, voire nécessaires à notre santé. On va rendre pathogène des organismes par l'utilisation massive et immodérée de ces technologies. Et en conséquence on n'aura le choix que de recourir à toujours plus de thérapie (épi)génique. La boucle est bouclée.

Je fais la comparaison avec l'arrivée généralisée de l'agriculture dans l'histoire de l'humanité, mais c'est pire en réalité, car autant l'agriculture était une technique démocratisable, autant ici c'est tellement technique que seule une infime minorité peut gérer cela et est entièrement sous contrat, sous brevet, sous la gestion de groupes pharmaceutiques et d'un gouvernement mondialisé (qui ont en plus l'immunité juridique en cas de problème). C'est une OPA sur le système immunitaire de l'humanité. Qu'on va voir se développer sur la procréation aussi. Car, oui, pente glissante oblige, ce système de culture va s'étaler tôt ou tard sur d'autres aspects/composantes de la santé, du corps humain. Comme on a cultivé une plante puis d'autres, etc. Après l'identité administrative (sexe, âge, nationalité, etc.) devenue obligatoire, on va vers l'identité pharmaceutique et génétique. La politique en ce moment, au vu de l'annonce du dit passe sanitaire en France notamment, revient à se faire s'affronter les injectés versus les non-injectés. Comme on a une droite versus gauche, mais sur le sujet de la santé (enfin, on ne va pas parler de l'obésité, et autres maladies chroniques, du moins pas tout de suite). Cette opposition est faite de toute pièce, artificielle, car ce n'est pas le sujet central. Basique. Au plus on réfléchit, au plus c'est grave ce qu'il se passe.
Cette vidéo, qui est un événement devenu classique au collège ou lycée je ne sais plus exactement, est ici un petit rappel de ceux qui croient de façon aveugle les dires du gouvernement et la caution scientifisante des scientifiques de la science. Tout organisme, virus ou bactérie, s'arrête à la frontière française et s'arrête aussi à la frontière "vaccinale". Cette affirmation est confirmée par le consensus, bien que ça aille à l'encontre de toute démarche scientifique, de toutes nos connaissances en microbiologie et écologie. Mais la situation d'urgence pour un organisme en situation de pathogénie humaine permet d'oublier cela sans problème a priori. 
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