Cet article va constituer une réflexion-observation sur ce qui se déroule présentement. Je ne voulais pas épiloguer sur ce sujet, mais j'en suis presque contraint au vu de l'hystérie tant des mesures que de leurs bien prompts défenseurs forcenés. Cela va être difficile de trouver par où commencer tant cela soulève de profonds problèmes.
On va parler de terminologie d'abord. Parce que les mots ne sont pas anodins, traduisent des choix, des paradigmes même, en amont des jugements permettant de classer pour nommer.
Les termes
MEDECINE. La médecine n'est pas la science non plus. La médecine peut s'appuyer sur "la science", mais n'est pas scientifique. La médecine n'explore pas le monde, elle a pour principe de guérir les maux. La prévention n'est pas la majeure partie de la médecine, au contraire, elle y est marginale. La médecin cherche avant tout à soulager les souffrances qu'elle confond parfois avec la guérison. Elle est très sectorisée et spécialisée, et peine souvent à voir au delà de cette sectorisation. Exemple de la danse entre un problème physique ou psychique (à l'exclusion de toute autre explication/source possible).
Biais
Le biais de confirmation est probablement le plus grand et ramifié ici. Si une personne s'est faite injectée - on lui a fait comprendre qu'elle est une personne responsable et un bon citoyen - elle va voir chaque personne lsuivant ces directives comme une confirmation de ce qu'elle pense être un choix individuel. Elle va voir la majorité le faire et ainsi se trouver renforcée dans son "choix". A vrai dire, si elle commençait à dire que ce n'est pas bien pour tous, ou pas forcément nécessaire, elle se contrarierait dans un de ses "choix" irréversibles. Ce qui vaudrait avoir perdu la face. Personne ne veut perdre la face et donc on va dans le sens qu'on a emprunté, car on n'a pas le choix pour son égo, et qu'on va même faire de la surenchère sur pourquoi ce "choix" doit être appliquée à tout le monde immédiatement (afin de noyer dans la masse son embarras à seulement imaginer qu'il aurait pu en être autrement). Alors imaginez que si une autorité nationale impose quelque chose qui confirme leur "choix", ils vont avoir le suprême adoubement par l'autorité politique. On confond en plus science et politique et donc double adoubement. Jubilation. Toute pression sur ceux qui peuvent encore faire un choix est alors perçu comme un devoir ultime, et totalement légitimée. Infantilisation, mépris de classe, mépris de culture, culpabilisation, menaces, privations, tout cela est autorisé subitement.
Il y a l'appel à la science, comme autorité suprême. Se référer, plus avant dans cet article, à la terminologie. Prendre la science comme autorité est par définition ne plus parler de science du tout. La science n'est en aucun cas une autorité. Si on dit que la science est une autorité, on parle en réalité de politique, purement et simplement. La science n'est pas neutre, objective, même si elle tente de l'être au maximum et donc il y a de la politique dans la méthode même. Mais prétendre que "la science dit ceci", "la science impose cela" est foncièrement faux. La majorité des techniciens en science n'ont jamais réfléchi sur ces questions. Ce sont des techniciens, qu'ils soient chercheurs ou autre ne change rien.
Quantité de techniciens de la médecine se voient subitement sous les feux de la rampe car on parle de leur domaine. Ils sont flattés car d'habitude ils sont ignorés. Ils se sentent alors une autorité subitement supérieure. Les techniciens sont habitués à aller dans le sens d'un courant, que ce soit derrière une institution en particulier ou une personne en particulier. Ils ne peuvent pas résister au fait d'être soudainement valorisés. Aussi bien la médecine que la science sont tributaires de financements, comme toute chose par ailleurs dans notre culture humaine globale. Bref, il y a plein de problèmes très profonds dans "la science" actuelle, et c'est connu, reconnu depuis longtemps, pas juste maintenant. Mais ce dont je veux parler est avant tout des biais concernant les immunologistes et différents autres médecins. Par exemple, ceux qui s'occupaient directement des cas graves ont le choc de voir la gravité, et naturellement sous choc ils préfèrent éviter que ça arrive à d'autres. Il y a surestimation du risque pour tous par intérêt personnel et par choc d'avoir vu le pire. Après avoir lu un ensemble de témoignages liés à l'accident de Tchernobyl, j'ai été quelque temps anti-nucléaire, parce que ça me soulevait le cœur, impossible de voir en un réacteur nucléaire autre chose que le pire. C'est humain. Mais pas "rationnel", pour ce que ça veut dire.
Des techniciens ne sont pas équipés intellectuellement et mentalement à remettre en question. Et à vrai dire, ils sont, comme tout le monde, dépendants. Le risque d'être en désaccord avec le "consensus" est bien trop grand pour son confort financier et social, voire familiale. Avant cette déclaration honteuse de la tête du gouvernement de ce pays, j'entendais surtout les gens s'injecter pour être tranquilles, c'est à dire être tranquille administrativement pour voyager notamment, et socialement car des proches faisaient pression sur eux. Mais pas du tout ou pas en priorité pour l'aspect santé, à part ceux qui sont âgés évidemment.
Code barre
Chiffres
Microbiologie
Perspectives
Si on se renseigne un peu sur l'histoire de ce qu'on appelle la biologie aujourd'hui, dont la médecine est une branche encore plus récente, on constate une suite d'avancées très spécifiques certes mais aussi une suite de déconvenues cuisantes. Le recours à des analogies foireuses est fréquent. Et quasiment toujours, il s'agit d'analogie mécanique, c'est à dire on compare la technologie avec la biologie. Le dernier exemple en date est le tout informatique. L'ADN est le code de tout ! Il suffit de décoder et tout est possible ! Beh, non. Il y a peut-être une partie du phénomène qui peut correspondre partiellement à une analogie informatique, mais l'ADN ou le cerveau humain ne sont pas des ordinateurs. Dans ces distinctions, je disais sur une plateforme dit de réseau social qu'il ne s'agissait pas de vaccin mais de thérapie génique. Ce sur quoi des personnes qui paradaient de leur diplôme et de leur poste de chercheur se moquaient. Ils n'ont pas su aller plus loin dans la réflexion finalement. Illustrant le côté superficiel de techniciens même à un poste qu'on dit supérieur, même dans le domaine qui concerne directement le sujet. La distinction serait que la thérapie (épi)génique selon eux utilise du matériel génétique et pas de l'information génétique. A considérer que le matériel soit parfaitement distinct de l'information. On est toujours dans l'analogie informaticienne et la dualité corps esprit finalement.
"Nous sommes en guerre".
Pour rester dans l'analyse du discours, des termes choisis, le fameux président de la honte qui nous décrète une dictature sanitaire (qui est en fait une sorte de guerre civile via médias par les postures pour et contre), a répété lors d'un fameux discours à plus de trois reprises, de mémoire, "nous sommes en guerre". Une guerre contre un organisme. Quelle naïveté sidérale. C'est très théâtral, oui. Mais le problème est qu'être en guerre contre la nature est bien prétentieux. Idolâtrie de la technologie pure et dure. Qui s'arme doit s'attendre à ce que l'autre s'arme en conséquence, en retour. Dès lors le sujet n'est plus l'homme et le virus mais la guerre, et la course à l'armement. On se décentre. On perd pied, la lucidité pour stimuler un esprit de guerre qui n'est plus des hommes contre d'autres hommes mais de quelques hommes qui entrainent tout le monde dans leur guerre contre la nature. Le pire avec cette mesure de demeuré est qu'il s'agit de la guerre contre la nature sur laquelle il rajoute un faux conflit entre des gens qui s'injectent et d'autres qui ne veulent pas. C'est sournois et malhonnête. Méthode vue un nombre incalculable de fois, de créer une minorité de toute pièce et de les rendre responsables de tout afin de détourner l'attention des réalités de fond.
Enfin, pour toutes les histoires obsessionnelles de chiffres et de statistiques, je vous invite à un minimum de scepticisme en lisant cet article sur la quantification qui pourra vous éclairer peut-être. Merci de votre lecture.
Mise en culture du système immunitaire
On le voit déjà, deux injections ne semble pas suffisant, ils envisagent trois doses. Ce sera peut-être plus. Les commandes de gouvernements vont jusqu'à 2024-2025. A vrai dire, il s'agit de la même dynamique que la mise en place d'un marché captif (comme les produits informatiques de la marque à la pomme ne sont pas compatibles avec d'autres systèmes par exemple). C'est d'autant plus grave qu'il s'agit de mise en culture du système immunitaire de milliards d'individus. Mise en culture, c'est à dire que l'on est face au même problème majeur du passage au tout agriculture de l'humanité. Effet de non-retour. Et prophétie auto-réalisatrice. On s'apprête à cultiver le système immunitaire de l'humanité. Une attaque contre la nature (le virus : qui s'avère d'origine humaine) et contre la nature humaine même. The house always win. C'est à dire qu'on va sur la pente où l'humanité va être dépendante de technologies épigéniques pour résister à TOUTES les infections, y compris des organismes qui étaient jusqu'à lors inoffensifs, voire nécessaires à notre santé. On va rendre pathogène des organismes par l'utilisation massive et immodérée de ces technologies. Et en conséquence on n'aura le choix que de recourir à toujours plus de thérapie (épi)génique. La boucle est bouclée.
Je fais la comparaison avec l'arrivée généralisée de l'agriculture dans l'histoire de l'humanité, mais c'est pire en réalité, car autant l'agriculture était une technique démocratisable, autant ici c'est tellement technique que seule une infime minorité peut gérer cela et est entièrement sous contrat, sous brevet, sous la gestion de groupes pharmaceutiques et d'un gouvernement mondialisé (qui ont en plus l'immunité juridique en cas de problème). C'est une OPA sur le système immunitaire de l'humanité. Qu'on va voir se développer sur la procréation aussi. Car, oui, pente glissante oblige, ce système de culture va s'étaler tôt ou tard sur d'autres aspects/composantes de la santé, du corps humain. Comme on a cultivé une plante puis d'autres, etc. Après l'identité administrative (sexe, âge, nationalité, etc.) devenue obligatoire, on va vers l'identité pharmaceutique et génétique. La politique en ce moment, au vu de l'annonce du dit passe sanitaire en France notamment, revient à se faire s'affronter les injectés versus les non-injectés. Comme on a une droite versus gauche, mais sur le sujet de la santé (enfin, on ne va pas parler de l'obésité, et autres maladies chroniques, du moins pas tout de suite). Cette opposition est faite de toute pièce, artificielle, car ce n'est pas le sujet central. Basique. Au plus on réfléchit, au plus c'est grave ce qu'il se passe.