Etat de choc généralisé
La sanitaire est la raison supérieure du moment
Le virus ne s'évapore pas
Le secteur médical est malmené
Il y a des "récupérations politiques"
La déontologie et la rigueur statistique volent en éclats
Que vous vous définissiez (de manière superficielle) comme pro ou anti (injection/masque/confinement/pass sanitaire), je pense qu'il est nécessaire, vital même de reconnaitre que nous sommes en état de choc. Ce n'est pas la peine de nier cela, d'essayer de jouer les durs, les insensibles, c'est faux. A moins d'être psycho ou sociopathe. De là, il faut prendre la mesure de ce que ça veut dire d'être en état de choc. Ce n'est pas parce que vous êtes un professionnel de la santé, même en psychologie, que vous êtes immunisés contre l'ensemble des affects basiques de l'homme. Autrement vous vous définissez comme surhomme, et alors c'est une autre histoire, qui ne nous intéresse pas ici. Une part de cet état de choc est dû à la simple annonce que nous sommes en situation de pandémie. Une autre part est dû à si vous avez été touché directement ou indirectement dans votre intégrité physique ou vos proches, des connaissances. Une part est dû aux mesures dites sanitaires. Une part est dû au traitement médiatique. Une part est dû à la pression individuelle et sociale. Si vous balayez une seule de ces parts, c'est que vous êtes malhonnête, pour ne pas dire stupide. Passez votre chemin, méditez un peu. Que signifie être en état de choc ? Réagit-on avec les meilleures options ? En tout cas, chacun va vers ce qui lui est plus spontané et probablement ce qui lui correspond le mieux. Peut-être que ceux qui courent vers un dit traitement, en ont besoin, qu'il soit efficace ou pas est secondaire. Peut-être que ceux qui ne comptent pas sur ce traitement n'en ont véritablement pas besoin, voire même que ça leur serait délétère. Dans les deux cas, nous ne sommes pas dans du 100%. Ce qui est important de distinguer ici est que nous avons un comportement réflexe qui nous fait aller vers telle ou telle option. Ensuite il y a les justifications, les narrations, pour justifier notre "choix". Le comportement réflexe a été maté pour faire dévier des gens. Le chantage de ne plus pouvoir prendre un verre en terrasse ou de ne plus pouvoir aller travailler. Il y a aussi des gens qui auraient été plus spontanément vers le traitement qui ont été happé par une boucle médiatique les en dissuadant. Mais la proportion de ceux qui ont été menacés est plus importante, et de loin. Il est donc plus sain et plus rationnel de défendre ceux qui sont restés fidèles à leur choix. Ou sinon, il s'agit juste de fascisme. On ne peut pas dire les choses autrement. Défendre les intérêts des minorités au sein d'un pays est normalement un de ses rôles fondateurs. Ce qui n'équivaut pas à du minoritisme voulant favoriser ou donner raison à la minorité systèmatiquement par principe même de minorité. Or, nous voyons une chasse aux sorcières planifiée et encouragée par les autorités désignées. Ces autorités non seulement ne sont plus dans leur droit mais en plus font exactement l'inverse. Elles sont dès lors criminelles et doivent être vues et traitées comme tel.
Passons au deuxième constat. Le sanitaire est dépeint comme la raison supérieure du moment. Déjà, en toute circonstance, l'histoire n'est qu'une répétition de cela, dès que l'on appelle à une raison supérieure, on peut être sûr que nous ne sommes plus sur le chemin de la mesure, de la raison, mais que nous assistons à des changements de pouvoir. On invoque la liberté, l'économie, Dieu, et autre pour justifier x et y. Dès que l'on prend une excuse, même pour Dieu, surtout pour Dieu en fait, on en fait une idole, un point de fixation faux, un mensonge. L'invocation d'une raison supérieure doit mettre la puce à l'oreille de tout le monde. Dans l'histoire, c'est toujours une prémisse à une erreur monumentale, à du gâchis. Toujours. Mais soit, acceptons que la raison supérieure du moment soit la santé. Est-ce que la santé est caractérisée uniquement par un pathogène ? Non. Certes, il faut être en vie, et continuer d'être en vie pour parler de santé. Alors, regardons la mortalité. En terme de nombres, il s'agit de quelque chose de vraiment important dans le monde, car nous n'avons jamais été aussi nombreux sur terre. En terme de proportion, c'est pas alarmant du tout. D'habitude on raisonne en terme de proportion dans le médical, mais là, non. Pourquoi ? La raison supérieure étant la santé, on devrait être vent debout contre les politiques qui nous font un cirque de chaud froid depuis deux ans. Pourquoi ? Car on peut se tromper une ou deux fois mais pas le faire systématiquement. Les autorités se sont contredites sytèmatiquement. Je le répète, car c'est la vérité qu'on doit entendre, et qu'on ne peut éluder, elles se sont contredites SYSTEMATIQUEMENT. Ces autorités et les médias ont oeuvré pour créer et entretenir un climat d'insécurité grandissante permanente. Ce sont des méthodes fascistes, des méthodes de torture psychologique et sociale. La santé mentale ne fait pas partie de la santé ? Comment alors décemment ne rien dire contre les autorités qui font usage de pareilles méthodes ? Même si vous croyez ardemment que la solution finale et unique est d'injecter tout le monde, vous ne pouvez pas défendre ces méthodes. Aucune raison supérieure ne peut justifier ces méthodes. Aucune. Si ces méthodes ne vous dérangent pas, ne font pas naitre un iota de dégout chez vous, posez vous des questions, vous êtes devenus sociopathe par état de choc et par lâcheté, par peur. Ca peut arriver, mais à un moment il faut se réveiller. Les personnes injectées ne peuvent plus ne plus être injectées, donc même si vous soutenez l'injection totale, finale, vous devriez vous révolter contre ces méthodes. La santé comme raison supérieure, il faudrait cibler les comorbidités en priorité. Un nombre gigantesque de comorbidités sont issues d'une alimentation inadaptée, d'un mode de vie inadapté, dont une part énorme est pourtant encouragée par les autorités mondiales de la santé. On promeut le manger végétal par exemple. Il n'y a jamais eu autant de diabète en nombre et en proportion. Pareil pour l'obésité, les maladies mentales et du système immunitaire. Et pourtant, on voudrait blâmer des gens qui ne veulent tout simplement pas prendre un traitement. La FDA (autorité de régulation sanitaire des aliments et traitements) tweet sur de la pizza au chocolat. Je veux dire, ça pose question. Si le sanitaire est la raison supérieure de toute notre existence, alors, il semble plus opportun de viser ces fléaux rampants affaiblissant la santé en amont de tout pathogène. C'est plus pertinent en toute circonstance, mais encore plus si on vise l'ensemble des facteurs de santé, et sur le long terme.
Même après la généralisation progressive de la dite troisième dose, on reste sur l'idée qu'on pourra éradiquer le virus pathogène en question. Tout médecin et tout virologue devrait reconnaître que c'est tout bonnement impossible, même pas approchable. Pourtant, on continue d'entendre des gens promouvoir cette même impossibilité. C'est de la démence, ni plus ni moins. Le virus fait partie de l'écologie mondiale. Il faut raisonner en terme écologique car il s'agit d'un organisme qui n'est pas isolé. Un organisme n'est pas pathogène par nature, il y a une pathogénie qui peut survenir suivant certaines conditions écologiques. Il vaut mieux agir de manière écologique que de manière guerrière. La course à l'armement est une escalade très souvent néfaste pour tous. Quand on soutient une politique du tout injection, on dit en somme que nous allons gagner la guerre biologique contre un virus. A-t-on les moyens de surenchérir en arme contre une forme virale ? Les antibiotiques développent une antibiorésistance, c'est un mécanisme écologique de base. Il en est de même pour toute forme d'organisme dans une écologie. Non seulement le tout injection peut s'avèrer inefficace mais en plus provoquer par surutilisation un effondrement de toute protection pour ceux qui en auraient vraiment besoin. C'est à dire que si l'injection peut éventuellement permettre une protection, par sur-utilisation on tuerait toute efficacité tout en blâmant ceux qui ne souhaitent pas être traités. On aurait donc créé une pression psychologique extrême sur une part de la population qui s'avérait être la part avec le comportement le plus rationnel. Il y a plus de chances que ceux qui refusent le traitement protègent davantage les plus faibles que ceux qui se traitent sans besoin. Le virus ne va pas s'évanouir. Qu'importe ce que l'on fait. Ce que l'on fait par contre a des conséquences.
Le secteur médical est malmené. Oui, mais depuis longtemps. C'est le lot de tous les secteurs, la dynamique est globale, c'est un changement civilisationnel. Faut pas se croire à part là-dessus. Nombrilisme de secteur. Après, oui, le secteur médical est en train d'être liquidé à toute vitesse, ils passent déjà plus de temps à faire de la paperasse qu'à soigner. Les nouvelles technologies vont rendre encore plus obsolètes quantité de personnels soignants. Encourager le tout piquouze participe activement à ce mouvement de fond. Le personnel soignant ne fait pas la connexion mais c'est comme acheter des produits bio dont les emballages se retrouvent dans les océans, ou faire construire un sapin de métal et de verre pour éviter de couper un sapin pour raison écologique, ou promouvoir le social et les bonnes conditions de travail tout en achetant des marques bas de gamme en promo. Bref, des incohérences ordinaires. Par exemple, récemment le personnel soignant reprend de plus en plus l'excuse du coût monétaire pour rejeter un test sérologique pour chercher si on a déjà eu le virus et si on a donc une mémoire immunitaire, ce qui rendrait obsolète tout traitement qui par définition est inférieur au naturel. J'ai moi-même demandé ce test, et on m'a rétorqué que ça coutait trop cher. Jamais, o grand jamais on ne m'a rétorqué que faire une radio ou une prise de sang ou un IRM coutait trop cher. D'habitude on fait plutôt tout l'inverse, à faire trop de tests, trop souvent. Mais d'un coup, ce n'est plus possible. Pourquoi ? Aucune raison valable. Le pire c'est que pour déterminer si l'injection est efficace et combien de temps, on est obligé d'avoir recours à ces tests "trop chers". C'est à dire qu'en plus de payer des doses à injecter, on paye en plus des tests PCR et des tests sérologiques. L'excuse monétaire est horrible d'un point de vu humain, encore plus d'un point de vu médical, déontologique, mais en plus n'est pas recevable une seconde si on raisonne en terme monétaire. Le personne soignant se targue de soigner, d'être sur le terrain, d'être des experts, mais ils ne respectent même plus leur déontologie la plus basique. Comment peut-on respecter l'autorité qui se trahit elle-même ? Elle n'a même plus conscience de se trahir, ni d'oeuvrer à sa propre liquidation. C'est d'une tristesse.
Déontologie. Un peu d'éthique. Mais même sans aller sur le terrain de l'éthique, si on tente d'être seulement praticien, il y a des protocoles qu'on doit suivre normalement. Il y a aussi des observations basiques qu'on retrouvent dans tous les troubles. Le protocole ne vise normalement pas à injecter des gens pendant une pandémie. C'est trop tard. Pire, ça peut mener à une échappée du virus et rendre à nouveau sans défense et définitivement les plus faibles. Ca, on le sait, pas besoin de faire douze ans d'étude. Pourquoi on ne respecte pas ce protocole ? On sait aussi que la réaction à tout traitement, que ce soit une injection ou une pillule, que ce soit pour un mal de crâne ou pour un cancer, ou un virus pathogène, varie en fonction de variables qu'on découvre au fur et à mesure de la mise en phase d'experimentation dont la mise sur le marché constitue la phase finale. On sait déjà maintenant que les injections sont ineffectives sur une part de la population. Elles sont déjà d'une efficacité, selon les autorités, de très courte durée, mais on persiste à vouloir augmenter le pourcentage d'injectés et de doses. C'est de la folie pure. On disait que l'injection ne permettait aucune contagion, et après douze fois moins, et maintenant plus personne n'ose affirmer ces choses. On disait que c'était la solution, on se rend compte que non, mais on persiste voire surenchérit même. C'est de la folie pure, il n'y a pas d'autre mot.
La récupération politique est une accusation qu'on peut ressortir sur tous les sujets, dans n'importe quel sens. Dès que tu parles d'un sujet, en bien ou en mal, de n'importe quel sujet, tu peux être accusé de faire de la récupération politique. Ce qui ne veut absolument rien dire. De même qu'accuser de complotisme quelqu'un qui n'est pas parfaitement aligné sur le fil officiel est un sophisme extraordinaire. Les débunkers rationalo-scientistes-zététiciens ne disent rien là dessus curieusement. De même que les animalistes ne disent rien sur l'expérimentation animale à des fins d'élaboration de produits à injecter. De même que les écologistes ne disent rien sur les masques qui ne sont pas recyclables et se retrouvent par milliards dans les océans et dans les forêts. Autant de personnes qui sont vent debout pour des broutilles d'habitude et ne disent rien, font les aveugles sur ce sujet. L'état de choc n'excuse pas tout. Ayez un peu de consistance. Réveillez-vous. Les enjeux vont au delà de notre petite survie individuelle. Bien au delà.