Que se passe-t-il ? Création d'une unité de grande échelle, l'échelle mondiale. Ennemi commun, car toute identité nécessite un ennemi. Afin de renforcer l'identification internationale, on oriente l'effort de lutte de guerre vers l'intérieur. Il y a des traitres à l'intérieur, cherchez ! Et les gens cherchent, dénoncent, font de la surenchère pour défendre cette identification monde.
Si on est dans une écologie, il faut penser aux relations de type écologique surtout en ce moment, entre le virus et les humains. Si on a affaire à un micro-organisme, il faut penser à la microbiologie. Mais on ne pense ni à l'une, ni à l'autre dans notre approche aujourd'hui.
Mais ce qui m'amène à écrire ce présent article est surtout ce qui se joue derrière la pandémie. On a focalisé sur la pandémie, puis sur un moyen de lutter ensemble, puis le pari de tout miser sur une unique stratégie. On passe plus de temps à défendre un produit que de proprement gérer notre relation au virus. Il s'agit d'une guerre qui comme toute guerre stimule les ardeurs. C'est aussi grotesque que lorsqu'on voit les images de peuples entiers suivre un nouveau dictateur avec des ficelles grossières. On se dit comment un peuple aussi éduqué que les allemands a pu embrasser un régime totalitaire, mais on assiste aux mêmes dynamiques au niveau mondial actuellement. On voit donc tant de spécialistes de l'histoire être incapables d'appliquer leur savoir au présent. Illustrant une fois de plus l'aveuglement ordinaire surtout des "éduqués".
La focalisation actuelle est sur l'acceptation ou non d'un produit. Et plus précisément la nécessité que tout le monde ait ce produit, avec quantité de "rappels" (à l'ordre). Cette focalisation nous fait oublier que d'autres choses se déroulent en fond. Que ce soit planifié ou non n'est pas la question. Si le complotisme ou l'anti-complotisme vous intéresse, je vous invite à lire un article sur ce site à ce sujet. On peut néanmoins faire des constats, des observations toutes simples. Le dit pass-sanitaire est une extension de la carte d'identité. Mais cette identité est toute nouvelle car elle indexe le système immunitaire, la santé. On a en partie une identité biologique décrite dans la carte d'identité, mais pas de type médicale en temps normal. Il n'y a pas marqué Gilbert Dupond âge 46 ans, sexe masculin, diabétique sur la carte d'identité. Ce serait choquant, et pourtant, ce que propose ce pass est pire que cela, alors que ça ne choque pas la plupart de ceux qui défendent cette hystérie collective quand il s'agit d'indexer le système immunitaire.
Le choix du tout injection indique le choix de l'arme, le choix de la guerre, le choix de la croyance au progrès et en l'intégrité "bio-éthique" absolue de tous, et de tout le système étatique, international et autre. Il s'agit d'une méthode unique, ce qui par définition est un risque gigantesque, mais de grands stratèges oublient subitement cela. On est aussi à un stade ultime du scientisme. La science c'est le vrai, c'est le consensus, c'est l'autorité, c'est la réalité. On accuse d'anti-vax ou de complotiste tous ceux qui ne serait-ce qu'effleurer un scepticisme. Tant pour la science, l'absence de réflexion. Anti-vax ou complotiste sont des mots traduisant hérétiques, traitre à la nation, apostat. Ceux qui dégainent ou plutôt répètent ces expressions à l'envie ne s'en rendent pas compte car les mots sont différents. Ils se font berner par un simple changement esthétique verbal, qu'ils savent repérer par ailleurs souvent mais pas ici, pas quand ça compte vraiment.
Le "choix" du tout injection traduit aussi un changement de priorité. La priorité est le système immunitaire, plus l'appartenance à une nationalité, plus l'âge, plus la citoyenneté. La nouvelle identité et nationalité et citoyenneté est l'injection. Le corps individuel n'est dorénavant plus individuel car une part de son système immunitaire est mis sous brevet, mis sous dépendance technique de laboratoire ultra-technique et protégé. On ne compte pas sur le système immunitaire naturel et propre de l'individu, on impose que son système immunitaire soit standardisé et plus gère en la possession de l'individu. Dépersonnalisation, perte de souveraineté immunitaire promue par les gouvernements du monde entier. Ce n'est pas une exagération, c'est vraiment ce à quoi on assite et ce à quoi nous donnons les pleins pouvoirs. Le système immunitaire naturel est interdit.
On est donc dans un moment vraiment historique digne d'un passage pivot du paléolithique au néolithique, en plus profond et plus rapide. Les erreurs inhérentes au néolithique sont commises à nouveau, en pire. C'est à dire création d'une techno-seigneurie mondiale extrêmement riche, et un affaiblissement mondial des populations, création de dépendance à des produits plutôt nuisibles qui dépossèdent des moyens naturels par définition. Au néolithique, on a attaqué les moyens de subsistance spontanés, l'alimentation, en rendant totalement dépendant de techniques agricoles et culinaires la subsistance. Aujourd'hui, on ouvre grand une étape vers une attaque du corps même. On externalise une partie de notre système immunitaire, ce qui engendrera une augmentation de cette externalisation, effet auto-entrainant. La dépendance engendre la dépendance. Même mécanisme qu'on voit dans l'addictologie, sans être spécifique à l'addictologie. Il faut comprendre que ce qui se passe se situe au niveau de l'espèce et non de l'économie seule, ou d'une nation.
Des entreprises proposent depuis des années d'envoyer son ADN être séquencé afin de déterminer une origine raciale/ethnique par exemple ou des risques supposés de certains troubles de santé. Il faut payer pour ce service et l'entreprise possède votre ADN officiellement. Certains planchent à la procréation totalement externe, artificielle. Libérer la femme est l'excuse. Libérer de la nature plutôt et surtout priver de toute souveraineté de procréation, à part peut-être dans des choix de marques/labos, et critères bio-techniques sur mesure mais quadrillées. Certains planchent aussi à l'alimentation par labo, surtout par la création de sous-produit de micro-organismes génétiquement modifiés/créés. Toute l'argumentation veg*nne et contre l'agriculture traditionnelle qui serait une pollution et qui serait cruelle et ses gens des empoisonneurs dirige vers cela. L'agriculture qui était déjà par sa massification à l'époque du passage au néolithique un changement drastique de souveraineté alimentaire, est elle-même attaquée car trop démocratique par rapport à ces nouvelles méthodes qui s'imposent, malgré la réduction à la portion congrue de la part de population qui travaille dans l'agriculture. On attaque ce qui est déjà en déclin de démocratisation. La natalité baisse. L'agriculture est réduite (grâce aux minerais et pas à la chimie, mais passons). Quelque chose va donc s'attaquer à prendre le relais, ou plutôt mettre la main sur une ressource qui se dessine.
Comprenez bien que tout cet article n'est pas une description d'un complot, qui est un débat stérile de toute façon, mais bien une simple observation de dynamiques de fond, qui semblent échapper cruellement à tant de personnes, y compris ceux qui défendent coute que coute les mesures anti-démocratiques et anticonstitutionnelles, et anti-républicaines, et anti-humaines au finale toute simplement. C'est ce qui se joue actuellement. Focaliser uniquement sur le virus actuel (en oubliant les autres potentiels pathogènes notamment) et sur un produit d'injection est une erreur fatale et pourtant basique.