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La santé & l'alimentation

21/7/2018

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de l'universalisme, à la nuance

Parler d'alimentation. Parler ou manger ? Il y a beaucoup de théories en cours sur l'alimentation parfaite, celle qu'il "faudrait". Mais dans une certaine mesure ça me paraît difficile de parler alimentation sans prendre en compte des perspectives élargies. Une démarche commune erronée ? On part d'un idéal inventé pour l'appliquer de façon définitive et universelle à toute l'humanité. Méthodologie bancale ! Le contexte comporte d'infinies nuances. Par exemple, recommander de manger de la laitue tous les jours à des habitants de steppes de Mongolie est d'une stupidité sidérante. Recommander de limiter ses calories à quelqu'un qui est très actif (mentalement et/ou physiquement) est du même acabit. Alors oui bien sûr il y a des grosses, très grosses lignes qui peuvent dans une certaine mesure correspondre à un aspect universel de la quasi totalité des humains, mais bon tel que ça nous est balancé souvent on est hors de ce minimum d'honnêteté méthodologique. Et aussi n'accusons personne en particulier, car il peut tous nous arriver d'êtres imprécis, maladroits, et bercer dans des tendances prédicatrices. "Tu mangeras 1/4 de concombre tous les jours de ta vie". Ah ah ce type de commandement solennello-comique, presque. La santé semble occuper une place de plus en plus prégnante au sein de nos préoccupations quotidiennes. De ce constat, on pourrait être tenté de porter à nouveau un jugement morale en disant que c'est une préoccupation égoïste ou que c'est parce qu'on a "que ça à faire" et que c'est même pathologique. Alors oui, ne nous mentons pas, il peut y avoir une part de toutes ces accusations qui soit vraie, mais si prendre simplement soin de soi est égoïste alors soyons-le plus chacun, si avoir du temps pour faire des expériences, apprendre et partager des informations est une décadence, je nous en prie soyons davantage décadents. Le contexte de nos discussions sur l'alimentation est une démultiplication des ressources aussi bien alimentaires qu'informationnelles. Et on se retrouve avec beaucoup beaucoup de sucre comme aussi beaucoup d'infos vaines voire toxiques (toxiques non de façon absolue mais relativement à la dose et aux circonstances/individus). On à aussi une précision sur les processus physiques jamais atteinte, une qualité d'aliments  importante malgré tout, et une diversité folle.

PAs de Graal, ni d'équilibre

De mon expérience, l'alimentation est un challenge hallucinant car chaque fois je crois avoir trouvé un "équilibre" et les faits viennent balayer cela. Par faits j'entends ce qui me touche directement en moi et non une nouvelle étude dixit des médias qui me dit que j'avais tort depuis le début, lol les vils castrateurs. Cette expérimentation pratique de terrain m'empêche systématiquement de rentrer dans une chapelle unique et dogmatique et globalement de toner "oui ! Ça y est j'ai trouvé le Graal unique de l'univers, écoute le prophète que je suis, la vérité m'a trouvé !". Bref.

Donc la notion d'équilibre n'apporte rien, au contraire souvent. Il n'y a pas de il faut, d'équilibre, tout ça. Déjà malgré la précision scientifique actuelle rapport au passé c'est imprécis dans l'application. Le comment ça arrive n'est pas toujours le comment ça s'applique. Il y a ce qu'on fait et ce qu'on sait. L'un et l'autre ne correspondent pas toujours bien, ni n'ont nécessairement besoin de correspondre. Parce que je saisi ces phénomènes d’auto-flagellation mentale où on mange un truc qu'on se dit être "mauvais" et alors on apprécie moins, on augmente les risques de mauvaise assimilation, et on finit par plus nourrir un trouble psy que soi-même. Dans toutes nos déclarations sur l'alimentation il conviendrait peut-être de prendre en considération le fait que les troubles du comportement alimentaire sont importants déjà et en hausse. Qu'on soit bien intentionné en divulguant telle et telle informations, il est possible qu'on participe à un trouble chez autrui. Divulguer des informations, oui, mais pas n'importe comment, c'est-à-dire éviter les prêches, l'universalisme, le solutionnisme, et un ensemble de "biais" qui si pour nous sur le moment ne pose pas de problème, peut s'avérer critique pour autrui.

aligner les paramètres

L'alimentation peut en effet être un facteur important de la santé, et on peut effectivement "résoudre" des problèmes réels par ce biais. Néanmoins, il s'agit d'un facteur, et on ne peut isoler un facteur de tout le reste sur le terrain dynamique de notre existence. De façon concrète c'est, dans l'acte de manger, comme si on réduisait tous les aliments à leur seule couleur, en excluant leur texture, leur saveur, leur interaction, leur propriétés diverses. Imaginez qu'un message public soit "Il faut manger orange", lol c'est pareil quand on nous assène "il faut" de la vitamine C, des fibres. Cela apparait comme des invocations bizarres. Il est possible qu'un problème de santé ne soit dû non pas à une mauvaise diète mais à une posture physique inadéquate, à une pratique sportive non adaptée, à un entourage social ou environnemental néfaste, à une pression économique, etc. L'objectif d'une santé stable/meilleure uniquement par l'alimentation c'est très mal partir. Il s'agit d'une cohérence d'ensemble propre à chacun et où il se situe. Faire un "régime" par exemple est une idée plutôt stupide car c'est de l'importation totale, comme une greffe qui nie complètement les spécificités dès le début. De même, faire du sport peut être une bonne idée, mais il faut prendre en compte la diète moyenne et la constitution de chacun, sa capacité à tenir sur le long terme chaque activité, chaque paramètre. Oui, flexibilité et adaptation tout ça, mais aussi une part de fixe, de déterminée, de constant.

LA tendance au tout gestion

Un autre travers est de considérer la santé comme un livre de gestion. Par exemple, le raisonnement est courant que de penser que les calories ingérées sont "éliminées" ou compensées par une activité physique. Non, ce n'est pas le cas, en tout pas de façon aussi simple et systématique. On voit des pubs parfois où un beignet c'est autant de calories et que cela équivaut à 45 minutes de vélo, lol c'est très mauvais comme comparaison, et ça n'indique rien du tout. Pareil, dans les régimes on veut nous forcer à compter les calories pour ne pas dépasser les 1600 ou 2000 par jour. Les calories de tel aliment sont différentes que les calories de tel autre aliment, et cela varie encore en fonction du terrain de chaque individu et de l'heure et de la fréquence de repas. Oui, aujourd'hui on commence à parler de chrono-nutrition, intéressant, mais souvent on tombe dans du solutionnisme à considérer que c'est le facteur numéro un qu'on avait comme par magie occulté jusqu'à lors. Donc, oui on a chacun des cycles internes qui ne correspondent pas aux standards auxquels on se figure mentalement, ni aux standards de la société contemporaine. Par exemple manger trois repas par jour est une habitude récente. Manger à heure fixe est récent aussi dans l'histoire de nos pratiques alimentaires. Cela ne veut pas dire qu'il faille tout casser d'un coup, mais simplement ajuster avec cohérence et progressivement aux faits. Par exemple il peut se trouver que certaines personnes bénéficient de ne manger qu'un repas par jour, et d'autre auraient plus besoin de manger 5 repas par jour, ça dépend et c'est aussi variable dans le temps, c'est à dire que pendant nos 20ans peut être que manger 4 repas nous est bénéfique mais qu'à 30 ans manger 2 repas nous réussit.

De l'eau

Pour donner un exemple, le cas de mon expérience : l'eau. Il est de coutume de recommander de boire et boire toujours de l'eau, tous les jours un litre ou plus, tout au long de l'année. On dit que cela permet de ne pas se déshydrater, de baisser la tension, de mieux digérer, et d'autres. A titre personnel, parfois, je vois que ces recommandations et ces justifications sont légitimes et avérées dans les faits de mon tous les jours. Je dis bien parfois. C'est à dire que pour moi, dans mon cas (j'insiste), que je ne généralise pas systématiquement à l'ensemble de la population hein!, il s'avère que la plupart du temps c'est exactement l'inverse qui se produit : boire de l'eau dans les proportions recommandées perturbe ma sensation de faim, perturbe ma digestion, me ballonne, me fait mal apprécier certains aliments, change mes gouts, augmente ma tension, augmente ma déshydratation, et empêche une stabilité émotionnelle et de concentration. Voilà, ce sont les faits que j'ai pu constater systématiquement sur des années (dans mon cas). Alors, face à ce genre d'information, on pourrait en déduire qu'il ne faut plus boire d'eau, ou que c'est mauvais et on va ressortir des adages stupides de poivrot du type "han bois pas ça, ça rouille" pour justifier... ce qui nous arrange. Mais doucement doucement, exposer ce fait n'est pas une tentative d'influence vous incitant à faire comme moi, car déjà la démarche serait stupide en elle-même, et surtout par définition vous n'êtes pas moi, vous êtes votre propre référentiel, encore heureux.

Bref, cet exemple est intéressant car il casse une recommandation qui ne se discute même plus tellement elle semble intégrée dans nos têtes et nos usages. En ayant étudié quelques livres sur l'histoire de la santé et de l'alimentation, je me rend compte de la volatilité des avis et modes. Et l'erreur serait de penser que nous échappons à toute mode aujourd'hui, même si c'est des recommandations officielles de docteurs savants experts. L'exemple du cholestérol qui a été banni et honni pendant si longtemps de façon unanime par la communauté scientifique de ce domaine et qui en fait s'avérait être une erreur monumentale. Alors encore une fois ce n'est pas dire que tout ce qui est dit par les experts est systématiquement faux, non, pas du tout, au contraire, mais qu'il est possible que ça ne corresponde aucunement aux variations et nuances du terrain, c'est à dire chaque individu à un moment donné, dans un environnement donné.

Tout en variété et en nuance

A l'heure où j'écris ces lignes, je suis d'accord, ou "aligné" avec la recommandation usuelle de manger beaucoup de légumes. Par contre je suis en désaccord profond sur les recommandations sur la viande et les laitages, et les fruits et les céréales. Mais même cet accord avec les légumes serait à nuancé car les légumes est une catégorie arbitraire en cuisine qui permet de désigner des choses en réalité très différentes. Un légume feuille comme un chou est différent d'un légume fruit de type tomate, d'un légume racine de type navet. Chaque aliment a ses spécificités qui peuvent alors plus ou moins s'aligner sur les besoins de chacun ou au contraire porter préjudice. Par exemple, j'ai entendu que les épinards, légume feuille, qu'on classe allégrement dans une catégorie d'aliment "sains" pour tout le monde et bien peuvent s'avérer toxiques pour certains microbiomes. J'ai déjà lu aussi des problèmes liés aux courges et courgettes alors qu'on dirait qu'il sont aussi des aliments "sains". Mais en fait, non ! Encore une fois on tombe dans l'universalisme qui par définition est faux, car si nous pouvons nous ressembler visuellement, nous ne sommes pas pour autant des copies les uns des autres. Ces recommandations universelles pourraient peut-être s'appliquer si nous étions tous des clones, ce qui a priori n'est pas le cas. Donc, demain il est possible que je revois ma position positive sans nuance sur les légumes. Certes je vois pas trop de problème à la consommation de salade "feuille de chêne", car je vois mal les gens réussir à en abuser en en mangeant 5 par jour lol.

Des contradictions

Autres exemples personnels, le thé est généralement présenté comme une boisson très saine, spécialement le thé vert qu'on orne de mille vertus, hop ça y est on est parti pour vivre 1000 ans grâce au thé ah ah. Alors oui, ça a eu un bon effet sur moi au début dans une lubie de découverte de saveurs et d'habitudes (la toute importance des rituels !) , mais aujourd'hui le thé me porte beaucoup de préjudice et je n'en bois plus du tout sauf pour me soigner en cas de certains symptômes désagréables un peu de thé puehr. On dit qu'il faut manger des fibres, et on nous oriente vers des fibres de céréales notamment. Si je fais ça j'aurais les intestins en pagaille pour plus d'une semaine et je m'en remettrais vraiment plusieurs semaines plus tard, seulement en doublant mes consommations de laits frais et de viande... ce qui demandera ensuite un ajustement, ainsi de suite. Ajustements en ajustements, pour compenser des éléments qui clairement ne me vont pas. Et même cela, je ne blâme pas forcément un aliment en particulier, car il est possible que ce soit un composé unique qui fasse que je ne l'assimile pas. Il n'y a pas de déterminisme éternel, car cela s'applique sur un individu, sur une période de temps et dans un environnement spécifique. Par exemple, je pense au concombre qui était toxique avant de devenir le truc plein d'eau tout doux et inoffensif, et en parallèle le blé qui semble par sélections devenir de plus en plus sujet à des malabsorptions (qui est peut être en partie l'effet d'une exposition médiatique qui augmente les perceptions à cet égard et donc les sensibilités). Mais ne restons pas sur l'aliment seul et isolé encore une fois. C'est possible que ce soit dû à des transformations, dont cuissons, qui ne soient pas adaptées ou n'optimisant pas les aliments. C'est possible que ce soit un organisme invisible comme une tique qui nous transmette quelque chose qui modifie nos besoins et assimilations par ailleurs. Et autres.

Pas unitaire

Une tendance aussi semble être la simplification de manger à un rôle énergétique ou alors pour satisfaire un organe en particulier. Par exemple on focalise beaucoup sur les intestins aujourd'hui, mais il faut je pense toujours replacer ces élans dans la perspective globale. Chaque organe a ses propres besoins. Et ces besoins ne correspondent pas systématiquement aux besoins de tous les organes. On pourrait alors se figurer cela sous cette façon : il y a des aliments qu'on mange juste pour le goût immédiat donc ce sera la langue, d'autres qu'on apprécie pour son estomac, d'autres pour ses intestins, etc. Ce qu'il faut comprendre si on raisonne en terme d'organes c'est que ce qui pourrait globalement être bon pour les reins, peut être relativement peu intéressant voire dans certaines circonstances néfaste pour le foie par exemple. Mais encore une fois on ne peut pas longtemps faire des parallèles aliments-organes. Quand on dit que manger beaucoup de protéines c'est pour les muscles, oui bien sur en partie, mais pas que, les muscles ont besoin d'autres nutriments et d'autres facteurs non alimentaires. Et même tout ne doit pas être vu en terme de besoin. Autre chose, parfois on cherche des indicateurs fiables. Alors on est tenté de se reposer uniquement sur l'odeur ou uniquement sur le goût/dégoût spontané. Alors oui, en effet, dans certains cas ça peut être un bon indicateur de se fier à ces perceptions directes. Mais si on se fie à cela de façon aveugle et systématique on peut se retrouver à ne manger que du sucre ou ne boire que de la bière, ce qui ne me semble pas forcément une bonne option durable.

Il n'y a pas d'effet secondaire

Point important : il n'y a pas d'effets secondaires, juste de effets. Ceci est un phénomène souvent mis en avant dans le domaine de la médication, mais évidemment ça s'applique aussi très bien à la partie de la médication qu'on appelle l'alimentation. Donc, on ne peut pas se fier à l'effet majoritaire court terme de chaque aliment. Par exemple, le sucre donne un boost d'énergie très rapide, mais peut être que quelques heures plus tard cela fera apparaitre un autre effet qui, lui, ne sera pas à notre avantage. Donc il s'agit d'une multitudes d'effets qui sont différés dans le temps, qui peuvent ou non se déclencher en fonction de circonstances. Je prends l'exemple de l'aliment sous forme de boisson qu'on appelle le café. Dans mon cas, quand j'en prend le matin cela me plait énormément, mais il est possible que certains matins cela me casse mon énergie au lieu de booster mon mental, il est possible que cela porte préjudice à mes dents ou mes intestins alors qu'à l'ordinaire tout se passe pour le mieux. Pareil, le café le matin passe souvent très bien, mais le café le midi ou l'après-midi généralement me détruit tout équilibre d'humeur et d'énergie. Si je ne prenais le café que l'aprem et qu'un beau jour ça ne passait plus, j'aurais pu en conclure que je devais absolument arrêter tout café, alors que pas forcément, il s'agissait juste de décaler l'heure de la prise au matin. Pareil, le matin si je prends 30cl de café tout va bien en général, mais si je prends 50 ou 60cl il arrive souvent que ça me casse toute la journée. Donc, voilà deux paramètres importants, le temps et la dose. Or on a tendance à ne prendre en compte que l'effet court terme. Ainsi un aliment qui vous procure du bien lors de prise, peut être directement responsable de votre inconfort quelques heures plus tard. Alors il faut considérer aussi l'effet très long terme de toute diète. Une piètre diète peut manifester ses effets pervers des mois, voire des années plus tard, et même si on a changé entre temps de diète, il y a un effet d'inertie énorme. Donc quand on change de diète il ne faut pas juger sur une semaine, mais sur des années lol, ce qui du coup est beaucoup moins compréhensible !

Effet bœuf

Les experts en santé et alimentation se multiplient. Mais pour juger de l’honnêteté de leur démarche, il convient peut être de se demander quels sont leurs motivations à cette exposition médiatique particulière. Beaucoup sont très éloquents, beaucoup peuvent paraitre avoir une mine exceptionnelle, une santé de feu, certains s'appuient aussi sur un parcours professionnel spécifique comme le fait d'être chirurgien depuis 30 ans, ou d'avoir 5 millions d'abonnés sur une plateforme de vidéos, ou de vendre des produits partout dans le monde avec brio. Mais aucun de ces éléments ne légitime sur le fond par principe ce qu'ils peuvent raconter. Comme tout à chacun, ils peuvent être dans une phase de découverte d'un élément ou levier important sur le moment et alors vouloir vulgariser cela avec l'aura de gourou ou de je-sais-tout (qui peut être parfaitement bien intentionnée d'ailleurs) qui s'insère rapidement dans nos esprits. Par exemple, dans le contexte où on a honni les graisses alimentaires pendant plusieurs décennies, sortir un livre qui dit que les graisses sont géniales et exceptionnelles est pertinent pour nuancer le discours moyen. Et il faut du temps parfois pour se défaire d'une idée ! Mais cette démarche d'alimentation haute en graisse a ses limites aussi et ne peut pas s'appliquer parfaitement à tout le monde. Il y a cette tendance donc à contrebalancer jusqu'à l'extrême qui je pense ne mène pas loin, et a plus de chances d'apporter des comportements pathologiques que des gains ou maintient de santé. Donc il me parait pertinent d'écouter de temps en temps des experts mais de ne pas leur accorder trop de légitimité et de ne pas appliquer leur topo systématiquement. Eux-mêmes peuvent être victimes d'un effet d'emballement médiaco-économique qui les met dans une situation dont il est impossible de s'en sortir sans perdre toute la crédibilité de leur affaire. Imaginez que vous vendez un type de supplément qui se révèle marcher super bien en terme de vente, forcément il y a des chances pour que vous voyiez ça comme une validation de la pertinence de vos propos, et si en plus ça rapporte de la monnaie et des statuts sociaux supérieurs, en quoi il serait ne serait-ce qu'envisageable d'arrêter ?

Sources et recommandations

Ici, je vais tenter de donner quelques indications de sources à cet article. Pour les livres voici une première liste >>

Concernant les TCA (troubles du comportement alimentaire) Sophie Vust - Quand l'alimentation pose problème.

Pour le côté historique : Eric Birlouez - La santé par l'alimentation de l'Antiquité au Moyen-Age, Georges Vigarello - Histoire des pratiques de santé, Jacques Cauvin - Naissance des divinités, naissance de l'agriculture, Marylène Patou-Mathis - Mangeurs de viande de la préhistoire à nos jours. Rémi Cadet - L'invention de la physiologie.

Pour le côté "paléo" : Mark Sisson - The primal blueprint.

Pour le côté fermentation : Marie-Claire Frédéric - Ni cru ni cuit.

Pour le microbiome : Giulia Enders - Le charme discret des intestins.
Sinon pour quantité de vidéos et articles/essais je vous oriente vers les sources que j'ai indexé sur mon Pearltree, où vous pourrez trouver de quoi casser chaque idée préconçue trop rigide, chaque obsession tendancieuse, si telle est votre démarche.
>> http://www.pearltrees.com/valentinkyndt/alimentation/id9948846
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