Chaque mesure, confinement, semi-confinement, pass-sanitarisation, injections, masque, gel hydroalcoolique crée un ensemble de niches non seulement pour le virus en question mais aussi pour d'autres micro-organismes potentiellement pathogènes. Ces niches sont donc des opportunités pour la variation, l'adaptation. Peut-être qu'il y a un effet réellement protecteur de ces mesures, mais non pas directement, seulement par effet de niche, sur le court terme du moins. La technique de la stratification est un quitte ou double. Ce n'est pas "la science", mais un pari. Globalement, cependant, je pense que la stratification ne fait que diluer, de manière partielle, dans le temps la propagation, quitte à l'augmenter dans l'ensemble, et augmenter les mutations.
Le "choix" du tout injection repose sur l'idée de l'éradication du virus. Ce qui est de manière prévisible impossible. Pourtant, on continu. Non seulement on continue en ce sens, mais on surenchérit. On veut injecter les fœtus et faire des rappels tous les six mois déjà. Si vous venez de faire votre troisième dose, vous savez que dans six mois c'est reparti. Processus non limité sur les années. Je maintiens mon vocabulaire d'injection au lieu de vaccin, car il ne s'agit pas de vaccin. Ce n'est pas en adaptant une définition pour faire correspondre nos envies qu'on change ce dont il retourne au fond. La preuve qu'il ne s'agit pas de vaccin se situe bien dans la pratique. Dans la pratique, on n'a pas à traiter de manière chronique. Le "rappel" déjà établi à deux par an, constitue un traitement de type thérapie génique, ou épigénique. Je ne vois pas pourquoi tant de gens sont frileux à appeler un chat un chat. On n'a aucune visibilité sur l'arrêt de cette pandémie, comme on n'a pas eu de visibilité sur l'arrêt des crises économiques par le passé. On répète qu'on est en crise, que c'est la crise, et un beau jour on se dit que ça y est, c'est pas si mal, c'est revenu. En cycle. La crise de santé est la nouvelle crise économique cyclique. On sait que certaines personnes ne développent pas de capacités immunitaires suite à une injection, et que sur une part de la population, toutes les doses qu'on veut ne changeront pas ce fait. On croit encore, comme souvent dans la médecine et autre, à une solution unique, un standard qui serait universel. Gouvernements et experts et médias affirmaient pas de transmission possible, 100% sur et efficace. On sait que la transmission continue à vive allure, le pass sanitaire permettant d'infecter massivement. On sait qu'il y a des effets connexes néfastes sur certains. Faut-il excuser une technique de com' à exagérer ? Non, les experts l'affirment avec aplomb, de but en blanc. A moins que tous les médecins et virologues se soient tous transformés en agents de com, on ne peut pas excuser ces exagérations.
Il s'agit de thérapie génique et non pas de vaccin. Il faudra acter cette vérité. Les gouvernements vont peut-être le reconnaître assez vite, mais prétexter une raison de politique, cad de com. Tous ceux qui défendaient par défaut la position officielle retourneront leur veste à ce moment là, en disant qu'ils savaient que c'était de la com, qu'il le fallait sur le moment, qu'on navigue à vue et que c'est normal qu'on fasse des erreurs et des à peu près. Un mensonge reste un mensonge.
Par les narrations qui courent, on croit que l'injection protège tout le monde de la même manière. Le fameux fantasme d'un même produit, un même effet. Négation des variabilités saisissante. On va encore botter en touche en disant que c'était évidemment connu mais que c'était un moyen de gagner la confiance et aussi un protocole usuel.
Ce qui est sûr est que ces injections auront des effets connexes d'ampleur, d'autant plus avec le principe des "rappels". Positives ou négatives ? Peut-être les deux. Toujours est-il l'injection est devenue une taxe d'ordre biologique. La première taxe biologique, sur le système immunitaire même. L'injection obligatoire signifie que le système immunitaire naturel n'existe pas ou alors est faible, pas fiable. Il faut dès lors externaliser le système immunitaire. Le chariot électrique a évidemment renforcé la capacité de marche de tous. De même qu'une prothèse sur une personne saine l'aide grandement. Sarcasme. La thérapie génique est du bidouillage. Peut-être qu'elle sera un outil exceptionnel pour guérir certaines maladies dures et chroniques. Peut-être que dans un futur proche ça va permettre de développer des capacités surhumaines sur telle et telle trait biologique. Du biohacking de haut niveau, et porté par les dites autorités. L'injection massive, obligatoire, acte le passage du biohacking au niveau mondial, quasi du jour au lendemain. Cela va se retrouver très délétère pour certains, et d'autres vont en bénéficier. Mais on ne sait pas trop à l'avance, on verra plus tard. On vit une transition majeure de type révolution agricole à l'échelle de l'espèce humaine. On cultive un système immunitaire, une réponse génétique dans le corps de milliards d'individus. Mais c'est hasardeux. Doit-on rappeler qu'une des entreprises phares de l'ère covidienne a découvert un stimulant sexuel en voulant soigner le coeur. La thérapie génique pour soit disant prévenir contre un virus particulier peut probablement aboutir à des découvertes de ce type. Ce qui est à craindre est quand même par la systèmatisation de la thérapie génique un affaiblissement du système immunitaire global et une dépendance technologique à ce sujet. Perte de souveraineté immunitaire. Interdiction immunitaire. Privatisation du système immunitaire. Taxe biologique. Ce qui s'en suit est aussi une dépendance technologique toujours plus grande de la souveraineté reproductive. Si les thérapies géniques en cours aboutissent à un affaiblissement significatif de la fertilité globale, on va devoir avoir recour à toujours plus de techniques laborantines. Dans tous les cas, on va vers le tout labo. Ce que l'on voit dans l'agriculture aussi par l'accroissement de la modification génétique des semences.